Le PLR se bat pour les citoyens, pour ce qu'ils feront demain, et pour les entreprises dans lesquelles ils travaillent

Neuchâtel, 5 mars 2025 – Le Parti Libéral-Radical neuchâtelois (PLRN) a présenté sa liste de candidats au Grand Conseil, ses thèmes de campagnes ainsi que ses objectifs.

Une liste aux profils diversifiés pour une vision commune

La liste des candidats au Grand Conseil compte 23 femmes et 56 hommes provenant des différentes régions géographiques du canton (Littoral : 42 / Montagnes : 26 / Val-de-Ruz : 9 / Val-de-Travers : 2). Le plus jeune a 21 ans et le plus âgé 70, avec une belle représentativité de toutes les tranches d’âges. Nous pouvons également compter sur une large diversité de professions, de formations et de profils différents qui se complètent. 

 

Les valeurs du PLR au centre de la campagne

Le PLR a décidé d’axer sa campagne sur 3 thèmes principaux ; le citoyen, son avenir et l’entreprise qui l’emploie. Mettre le citoyen au cœur de sa campagne permet au PLR de continuer à s’investir pour l’épanouissement et le pouvoir d’achat des Neuchâtelois, ainsi que pour un système éducatif performant. L’initiative pour une baisse d’impôts lancée par l’Alliance neuchâteloise ainsi que l’initiative pour défiscaliser les coûts de la LaMal s’imbriquent évidemment parfaitement dans ces thèmes.

 

Le PLR réaffirme son soutien aux entrepreneurs neuchâtelois et le décline en trois points : l’emploi, la formation et la croissance dite réfléchie, notamment en garantissant des conditions attractives pour les entreprises, en promouvant l’apprentissage dual et l’employabilité.

 

Le troisième thème est l’avenir, ou « demain », un thème regroupant tout à la fois le maintien d’une attractivité résidentielle dans le canton, une mobilité multimodale, une écologie par incitation et une agriculture forte avec un soutien à la production locale et aux circuits courts.

 

Finalement, dans tous les domaines, le PLR s’engage à diminuer les charges administratives, que ce soit pour les agriculteurs, les enseignants, les indépendants ainsi que pour tout le tissu associatif qui, tous, souffrent de procédures administratives lourdes dues à une législation inflationniste.